vendredi 29 août 2008

Jeux Vidéos

Aaah les jeux vidéos, virtuelle passion dans laquelle je suis tombé quand j'étais petit (grace à mon père !) et depuis je n'en suis jamais sortit d'ailleurs ! Enfant, je passé des heures avec mon frère devant les Marios, F-zero, Megaman X, Street Fighter et autres jeux que j'éviterais de citer pour préserver mon honneur de gamer!

Bien sur avec le temps, mes goûts, mes envies et mes aspirations ont évolués et puis j'ai découvert le RPG (jeu de rôle)... c'est un peu comme quand on découvre la grande cuisine après avoir passé la moitié de sa vie à mangé des conserves ! Si, si ! Je vous assure.
Depuis dix ans maintenant (mon dieu que le temps passe vite) je voue un culte, presque, sans limites à la série japonaise des Final Fantasy, j'ai commencé par joué à l'épisode 7 en 1997 (pour les néophytes, il ne s'agit pas de "suites" donc aucune chronologie scénaristique). J'ai étais transporté par son univers, ses personnages, son histoire, ses musiques, son système de jeu, bref je ne pèse pas mes mots ; j'avais alors 11ans et ce fut l'expérience qui à bouleversé ma vie de gamer, sans exagérations je pense que cela à eut aussi un vrai impact sur ma façon de voir les choses, de me posé des questions sur les autres et le monde ainsi que sur mes goûts actuels.

Aujourd'hui nous sommes passé à l'ère du "next gen", donc les jeux que je vais présenté là sont de bons vieux classiques maintenant. En fait je n'ai pas grand chose, en comparaison avec la collection d'autres joueurs, mais moins de temps, moins d'argent il faut bien faire un choix.


GAME WALL PS2







GAME WALL d'ANTHOLOGIE





GAME WALL


code ami Mario Kart: 481 162 582 562
code ami Jump Ultimate Stars : 425 316 453 213








mercredi 27 août 2008

Une rue à l'écart du monde


Récemment j'ai fait une découverte.

Il faut savoir que je quitte mon travail relativement tard, 23h, donc il fait tout le temps nuit à cette heure là. Comme j'ai la chance d'habité à dix minutes de mon lieu de travail je m'y rends à pied bien sur.

Il y a quelques temps, sur le chemin du retour, où il ne se passe jamais grand chose d'ailleurs, je me suis retrouvé à devoir traversé une rue complètement plongé dans les ténèbres. Pas un seul lampadaire, néon, feu, enseigne lumineuse sur cinquante mètres. Des appartements ? Tous endormit apparemment. J'arrive peu à peu dans la zone noire, j'ai comme une légère appréhension, "évitons les rues sombres et étroites" me murmure ma conscience avant de se caché dans son trou. Qu'a cela ne tienne ! Je brise les interdits et les peurs les plus infantiles ce soir !


C'est étrange, le bruit de la ville semble loin, comme si j'avais prit de l'altitude, les voitures, les bâtiments, les arbres, tout est figé, silencieux et obscur. Il n'y a qu'une légère brise chaude qui traverse la rue et je laisse mon imagination vagabonder dans ce royaume des ombres.
Au loin j'aperçois à nouveaux des lumières, petites étoiles multicolores qui scintillent sur une toile sombre. Je m'attends à débouché dans un autre monde, comme si je venais de traversé un tunnel menant sur un ailleurs, loin de la ville, loin du temps et des soucis quotidiens. J'aperçois la démarcation sur le sol entre l'ombre et la lumière topaze des vieux lampadaires, je pose le pied. Juste la rue voisine. Je me retourne et je comprends, trop tard, cet univers incroyable je venais déjà de le traversé et d'en sortir.


Deuxième soir, la rue est toujours plongé dans l'obscurité, je m'émerveille encore de découvrir ce monde étrange, la ville apparaît sous un nouveau jour dans cette nuit totale. L'activité, le bruit, les gens ont fait place au silence et au vide, la scène semble presque surréaliste. Un instant je m'inquiète de me retrouvé seul dans ces ténèbres, puis je jubile, moi qui suis dans cette rue, seul, visible et pourtant invisible aux yeux de tous. Enfin libéré de l'emprise des autres et de leur regard, je goutte un moment à cette liberté, la vraie, l'unique, la dangereuse, celle qui laisse un homme seul avec sa conscience, celle qui vous laisse choisir ce qui est bien ou mal, celle qui vous fait sentir que vous êtes vivant et que tout le reste n'est que matière inerte et sans âmes.


Troisième soir, je pense déjà à ma rue, celle dont je suis le souverain, celle où je décide de rompre à tout moment le silence ou pas.
Horreur, la compagnie d'électricité s'est mise à l'ouvrage, une lumière nerveuse, jauni et sans convictions éclaire vulgairement mon royaume en ruine. Ce n'est plus qu'une rue parmis toutes les autres, avec ses voitures, ses odeurs et ses souvenirs.

Je réapparais à la lumière, sous les projecteurs citadins, je redeviens l'homme polit, civilisé et au final rien de plus qu'une ombre qui file entre des murs sales.

Déménagement

Après de nombreuses crises de nerfs, des pétages de plombs et de clavier, j'ai décidé d'abandonné le très pratique système de "my space" de windows live, leur nouvelle version est devenu encore moins agréable à utilisé selon moi.

Du coup, mon blog renait sous une toute nouvelle forme, vêtu d'un beau vert, avec pour titre étrange The Virtual Tale ; à chacun d'en faire sa propre interprétation.

L'utilisation de blogger à l'air plus souple, plus rapide, espérons que cela suffira à me motivé pour continué de tenir à jour les notes sur le blog !

Récit de la fin d'une érrance

J'aurais voulu te faire croire que j'avais traîné toute la nuit dans la ville. Non, au lieu de ça, j'ai déambulé dans les rues comme un fantôme. J’ai cherché la route jusqu'à chez moi.

J'ai attendu l'ascenseur dans le noir, puis je suis rentré dans mon appart, presque vide, un verre à moitié plein et quelques miettes dispersées sur la table. Perturbant les ténèbres qui régnaient chez moi ; le générique d’un film qui défilait inlassablement, une liste de noms d’inconnus.Brusquement une angoisse m'étreint, est-ce que je suis bien chez moi ? Je ne reconnais plus rien, je fais le levé de rideau ; dans l’obscurité j’observe, les ombres dansent sur les murs comme des démons, rien de tout cela n’est à moi, rien de tout cela n’est moi, je me retrouve sur cette scène, les costumes et les illusions de notre comédie sont restés abandonnés, éparpillés un peu partout au milieu du décor. Et moi je suis là, mon texte, mes mots, mes envies, mes espoirs, mes craintes, rien de tout cela ne correspond au cadre. Peut être me suis-je tout simplement trompé de représentation ?

Je pénètre dans la chambre, un étranger dort dans mon lit, bientôt je devrais me coucher près de cet homme, si proche de moi et tellement éloigné en même temps. Pour la première fois je comprends une chose ; la distance, la vraie, celle qui sépare vraiment les êtres, elle est dans nos têtes. Horreur, je réalise que je ne me suis pas trompé, sauf que je joue la mauvaise scène, j’ai quelques chapitres de retard et le théâtre est désert, les projecteurs sont éteints, je suis seul avec mon script, comme dans un mauvais rêve. J’ai beau en tourné toutes les pages, celles qui suivent sont vierges, désespérément blanche et je me perds dans ce désert immaculé.

Alors je me mets à cherché frénétiquement, où vais-je, que dois-je faire ? J’essaye un chapeau, j’échange les masques, je cherche la deuxième paire de ma chaussure. En vain. Il n’y a plus de rôle à ma mesure, je ne rentre déjà plus dans le déguisement que je portais hier encore.

J’hésite, je m’inquiète, je doute, puis, je choisis ; je cesse de jouer mon rôle tragi-comique. Je quitte la scène pour retourner sur les routes. Je regarde derrière moi un instant, et je vois les vallons, les collines, les villages, les lacs que j’ai déjà traversé. Je ne reste pas trop longtemps à contemplé le chemin parcourut. Devant moi il y a d’immenses plaines, des montagnes, de grandes villes et l’océan, qu’il me reste encore à traversé et à découvrir !

Mais j’ai le temps, le monde tourne sur lui-même si vite qu’on ne prend plus le temps de respirer, de profité, d’admiré le paysage, moi je veux tout voir. J’avance, comme je l'ai toujours fait, moi qui n'ai aucun sens de l'orientation, au hasard, j'emprunte des passages, des faux raccourcis, des chemins détournés, je fais des rencontres, j'aime, je déteste, je prends, je quitte, je me trompe, je grandis. Et finalement je retrouve toujours ma route, j'ai quelques fois traversés des buissons de ronces et des déserts, les écorchures cicatrisent avec le temps alors je continue de sourire.L’important, aujourd’hui je crois l’avoir compris, ce n’est pas tant le chemin parcourut ou la destination, que les bons moments que j’ai vécu et les souvenirs que j’emporte avec moi. Alors ne t’inquiète plus pour moi maintenant.

(R)éveil

" Qu’est ce qui me pousse à reprendre la plume à nouveau, l’espoir, je crois.

Une énergie nouvelle c’est emparé de moi, j’ai l’impression de me réveillé après des mois de somnolence, cet espoir, cette foi en l’avenir, en l’Homme, sa déborde, je dois le partager avec quelqu’un.

J’ai souvent pensé que je n’avais pas encore commencé à vivre, j’attendais avec impatience le jour ou ça allé vraiment " commencé ", où je me dirais " wahou c’est donc cela, c’est pour ça qu’on est tant attaché à la vie ". Mais ce jour il n’est jamais arrivé comme je le pensais.

La vie elle, elle a déjà démarré depuis un moment, elle n’a pas attendu que je me réveille, elle est venue à moi simplement, il y avait déjà tout ce que je voulais, c’est juste que parfois on n’a pas le courage de " prendre ". On connaît des petites joies, des grandes peines, parfois on est un peu déçu et d’autres fois on se sent en extase complète.

" Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ", tout le monde le connaît le vieil adage, on à tendance à le balancé dans le creux d’une discussion, en espérant qu’on va y croire soit même.

Mais bon sang, je crois que ça n’a jamais était aussi vrai qu’aujourd’hui, je traverse les étapes de la vie les unes après les autres, j’en tire à chaque fois un lot de satisfactions, comme tout le monde, je me traîne aussi quelques vieux démons, et si je n’ai pas les armes pour les affrontés tout de suite, je ne me décourage pas, je pense que la prochaine fois j’aurais peut être suffisamment grandit pour qu’ils ne me fassent plus peur, et ainsi, je continue d’avancé.

Et maintenant j’ai l’impression de m’éveillé pour la première fois, s'affirmer, s'amuser, profiter, crier, jouir, pleurer parfois, apprendre, espérer, avancer, construire, écouter, parler, pardonner, s'opposer, recommencer, renoncer, comprendre, j’ai l’impression que tout cela éclate en moi comme un grand feu d’artifices et, c’est bête, mais je me sent simplement heureux de vivre cela, d’avoir compris que vivre c’est toutes ces petites choses en même temps. "


Souvenirs d'une autre vie

" On à rompu samedi dans la journée. Quelques jours auparavant, j'avais émit l'idée de rupture, on s'était surtout fait peur à ce moment là, puis on c’est c'est dit qu'on allé tenter de recollé les morceaux, du moins ceux qui restaient.

Il y avait un vent terrible ce jour là et le ciel était couvert de nuages gris qui semblaient retenir l’averse de toutes leurs forces. On a discuté un long moment, prit dans cette tempête de sentiments.

Je ne sais pas comment c'est arrivé, mais en quelques secondes toutes mes convictions ont été balayées, c’était un sentiment nouveau pour moi, cette peur immense, quand on se rend compte que tout ce à quoi on s’est accroché s’effondre autour de nous.

Je n’avais sans doutes pas vraiment réalisé. Bien sur, je ne pensais qu’a cela depuis quelques temps déjà, je ne voyais plus que cela même. Mais ces mots terribles ; " on devrait rompre ", m’ont secoué, ils ont résonné dans ma tête, oui, ils ont rompu beaucoup de choses en moi.

Oublié la colère, oublié les convictions, il n’y avait plus que peur et doute et cet être si chair à mes yeux que les rafales semblaient éloigné de plus en plus de moi.

Je n’entendais plus, il a continué de me noyer sous des litres de paroles et de mots, et c’est seulement à ce moment là que j’ai réalisé qu’ils avaient perdu leurs saveurs, depuis bien longtemps déjà.

Il m’a demandé pourquoi je ne disais rien, et comment je ne trouvais rien à dire dans un tel moment, je ne sais pas, plus rien ne voulait sortir, c’est comme si mon cerveau c’était bloqué, incapable de fournir une pensée claire et raisonnée, les arguments, les exemples, les explications, tout cela il les avait avalé, me laissant seul avec mes affres.

Le ciel était toujours aussi orageux, et même les nuages, seuls témoins de ma détresse me refusaient la moindre larme.

On venait d’inversé les rôles, j’étais devenu celui qui avait peur, celui qui s’accroché au moindre petit bout de ficelle qui restait de nos liens, moi qui les avais vue comme des chaînes, aujourd’hui je me rends compte qu’ils n’étaient rien de plus qu’un fin et fragile fil sur lequel nous avons tiré.

Sans larmes, sans cris, les choses se sont terminé, c’est comme si tout s’était agité autour de moi depuis des mois, comme si le soleil avait brillé un peu plus fort, comme si la musique avait été un peu plus douce, comme si la vie avait été un peu plus belle, et tout d’un coup, le temps s’est figé et les choses sont retombés doucement, sans faire de bruit, et le ciel est resté couvert et insensible."