Un titre étrange pour un simple article qui va me servir d'état des lieux.
Cette reprise du titre du célèbre "Autant en emporte le vent" n'est pas de moi, la phrase est sortit de la bouche, enfin du clavier d'un ami, lors d'un délire Facebookien. Néanmoins j'ai trouvé l'idée amusante, la vague, pourquoi la vague ? Elle désigne surement ce flot d'émotions et d'évènements qui me submergent en ce moment. Les choses changent, je change aussi, tout change autour de moi, ça bouge, ça brille, ça s'éteint, ça s'immobilise, j'abandonne certaines choses, certaines personnes et j'en découvre de nouvelles, je lie de nouvelles affinités, c'est le froid peut être ; on se débat pour réchauffer ses membres, on se sent plus vivant que jamais.
Encore un échec cette année, je me suis planté, il m'a manqué 45 000 mots pour finir mon NaNoWrimo (voir l'article « Un défit pour ma plume »), je n'ai pas su entretenir la motivation nécessaire pour atteindre mes objectifs, ça semble être un problème récurrent chez moi d'ailleurs, Sylvain aussi n'a pas réussit ! Je ne sombrerais pas seul !
C'est dommage, si j'avais moins eut la flemme on serait peut être aller un peu plus loin, si jeune et si peu d'énergie c'en serait presque désespérant. Ça ne fera que remettre à un peu plus tard ma prometteuse mais néanmoins très hypothétique carrière d'écrivain.
Parlons de Sylvain d'ailleurs, je la vois déjà, la curiosité et la malice dans ses yeux, en lisant ses lignes. Qu'est ce qui motive ce garçon, je me le demande. Récemment je me suis sentit plus proche de lui, c'est étrange mais ce sont les gens dont on s'attend au moins de choses qui finalement en révèle le plus, j'ai encore du mal à le comprendre, il est insaisissable. Il à été là pour m'écouter quand j'en avait besoin, quand j'ai été malade il m'a même tenu compagnie, à sa manière. On à pas mal discuté mais finalement on ne sait pas grand chose l'un sur l'autre. Je vais encore dire truc très abstrait : j'ai l'impression que chez lui, quelque chose fait échos avec ma propre personne, à cogiter.
Qu'il ne désespère pas, je vais bien finir par me réveiller.
Parlons du travail, apparemment il n'y a personne pour prendre le relais, hahaha, sans déconner, je n'ai pas eut mes vacances de noël, je ne suis guère surpris. Je travaille donc du 23 décembre au 02 janvier. Et là, vous vous dites « la merde... » et bien STOP ! Je dis non à tout ça ! Positive attitude : puisqu'on va passé nos fêtes de fins d'années dans la seule presse-tabac ouverte à Montpellier autant rendre tout cela inoubliable ! Je sais pas encore comment, mais il est hors de question qu'on déprime pendant que nos caisses joueront les airs de noël avec leurs insupportables « bips ».
Je profite d'avoir lancé le sujet pour donner quelques mots sur l'asmathique mystérieux, mais si vous savez, le client qui revient me voir tous les soirs (si tu es dans mon lectorat fait moi signe, avec une fusée éclairante, ou même une guirlande électrique !) et moi qui tente désespérément de l'accrocher avec une de mes conneries. Il se trouve qu'avec la magie d'internet j'ai retrouvé ça trace ! Bon ça ne m'a pas apporter grand chose à part quelques informations sommaires, le plus dur reste à faire, en attendant ce petit jeu du chat et de la souris nous permet de croire qu'on vit des trucs passionnant au boulot même si l'intrigue commence un peu à s'essouffler.
Je n'aborderais pas plus le sujet de ma vie sentimentale du moment, comme dirait Laure, j'ai une aura depuis quelques temps, et c'est un vrai bordel ! Je dit cela mais je me régale bien sur, ça fait plaisir de temps en temps de se sentir un peu convoité.
Je ne vois rien d'autre à ajouté pour aujourd'hui mis à part que... JE VEUX DES CADEAUX !!!
Allez, réveil! On a le droit de pas réussir un truc, mais seulement si on s'arrête pas d'essayer pour autant.
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